MAYA REICH

MAYA



Qui dans son enfance n’a pas soufflé sur un pistil de dent-de-lion* ?

Qui n’a pas admiré les éclaboussures des vitraux sur les dalles des cathédrales ?

Qui enfant n’a pas bondi de flaque de couleur en flaque de couleur, « si tu rates le crocodile va t'attraper  … perdu » ?

 Maya nous transporte  nous les adultes, vers nos joies d’enfants. Elle nous transplante dans nos souvenirs espiègles. Elle nous reconduit auprès des jeux puérils mais non moins sublimes.

Pour notre plus grand plaisir ce gamin le rêve devient Œuvre grâce au talent de Maya Reich.

La nature devient sous son art transparence sensible, transport vers celui ou celle que nous avons été,

Maya a fait appel au « éne veudoése »*,  pour disséminer dans les airs les gaines transparentes.

Armé de plomb et d’étain, de coupe verre et de fer à souder,  le travail de Maya se fabrique avec la transparence des couleurs.

Une poésie de formes tout comme Maya est une poète de la lumière. 

Alors les copains et les copines venez souffler sur les dent-de-lion de maya.

 

  • Pissenlit Dentdelion pour les connaisseurs
  • Éne veudoése : un tourbillon de vent (l’été)  

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