LORSQUE J ETAIS UNE OEUVRE D'ART
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j'ai lu "Lorsque j'étais une oeuvre d'art" de Eric-Emmanuel Schmitt. cela commence sur les chapeaux d'art mais je me suis lassée.
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j'ai lu "Lorsque j'étais une oeuvre d'art" de Eric-Emmanuel Schmitt. cela commence sur les chapeaux d'art mais je me suis lassée.
« Qui n'a jamais rêvé de devenir un objet ? Mieux même, un objet d'admiration ?
Tel est le pacte que scellent un artiste excentrique et un jeune homme désespéré. Le premier, avide de scandale, propose au second, avide d'exister, de le transformer en oeuvre d'art.
Après tout, il n'a rien à y perdre, sinon la liberté. »
Parce qu'il se sent médiocre et inexistant, un jeune homme sur le point de se suicider accepte l'accord que lui propose un artiste mégalomane : celui-ci lui achète son âme et son corps pour en faire une sculpture vivante, sublime ou monstrueuse, et une marchandise planétaire.
Cette fable excentrique, inquiétante et comique nous entraîne dans un monde rongé par le narcissisme, le culte du simulacre et de l'apparence, le totalitarisme de l'image : le nôtre.
Tel est le pacte que scellent un artiste excentrique et un jeune homme désespéré. Le premier, avide de scandale, propose au second, avide d'exister, de le transformer en oeuvre d'art.
Après tout, il n'a rien à y perdre, sinon la liberté. »
Parce qu'il se sent médiocre et inexistant, un jeune homme sur le point de se suicider accepte l'accord que lui propose un artiste mégalomane : celui-ci lui achète son âme et son corps pour en faire une sculpture vivante, sublime ou monstrueuse, et une marchandise planétaire.
Cette fable excentrique, inquiétante et comique nous entraîne dans un monde rongé par le narcissisme, le culte du simulacre et de l'apparence, le totalitarisme de l'image : le nôtre.
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