Un café un croissant vendredi matin dans Gisors
Je
m’assoie carnet de croquis au café, un jour de marché.
La
vie se déroule sous mes yeux.
Les
voitures s’arrête devant le boulanger, les hommes attendent, les femmes font la
queue elles ressortent les bras chargés de pains et de gâteaux.
Les
cadis s’entrechoquent, en attendant son tour les langues se délient.
Les
coffres s’ouvrent pour engloutir les achats.
Les
voitures repartent.
En
terrasse au bord de l’Epte un homme, boit son café et fume sa cigarette, il
grimace à son téléphone, visiblement cette conversation ne lui plait pas.
Si
vous voulez fumer tranquille couper vos portables. Enfin vous faites comme vous
voulez, personnellement souvent je ne réponds pas, pur profiter de l’instant,
je rappellerais plus tard.
Patricia Allais Rabeux
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